L'évolution naturelle d'une fratrie humaine comme le Terrien sur une planète habitable comme la Terre se déroule sous l'influence des Forces du Bien induites par l'instance située au-delà du Matériel : la nature de métamatière. Une fois bien en place, ces forces protègent la fratrie des attaques maléfiques permanentes tel une immunité dans un corps sain. Elle peut alors évoluer sereinement pendant des siècles voir des millénaires et remplir avec perfection son rôle au sein de la symbiose des univers : support et transfert de l'intelligence métamatérielle saine dans la nature de matière qui en a fondamentalement besoin. Ce rôle lui permet d'agencer idéalement l'environnement matériel, en agissant avec des comportement intelligents, issus de sa communication avec la nature de métamatière, elle même partenaire de la nature de matière dans la symbiose des univers.
Mais cette belle mécanique s'enraille périodiquement. Sapée par les coups incessants des forces du Mal, l'immunité bienfaitrice s'amenuise et un jour, la maladie s'installe. Elle ronge la fratrie humaine de l'intérieur et la rend fébrile jusqu'à devenir moribonde. Pour d'éviter quelle disparaisse et devoir recommencer le long processus de naissance d'une autre fratrie humaine qui peut durer des millions d'années, la nature de métamatière soigne la malade afin quelle reparte en marche avant, très affaiblie mais guérie. Ce douloureux processus de guérison est connu depuis la nuit des temps sous les noms de Déluge, Fin du Monde ou Apocalypse.
L'Apocalypse selon Claude De Bortoli.
Plus rien ne sert de prévenir, il faut guérir maintenant. Les messages diffusés par les apparitions mariales n'ont rien apporté de positif. La maladie s'est tout de même installée. La nature de métamatière informe de la mise en place d'un nouveau protocole de guérison.
Une force se matérialise dans un environnement à domination humaine par des structures imposantes qui la font rayonner, des personnes qui la servent en montrant l'exemple et un idéal de conduite.
Pour les forces du Bien, les structures qui les font rayonner sont les monastères, les cloîtres, les abbayes, les couvents, les églises, la cathédrales ou autres. Plus il y en a, plus le Bien rayonne, plus le Terrien évolue sereinement. Pour les forces du Mal, ces structures qui rayonnent sont les entreprises, les sociétés, les établissements, les firmes et autres. Plus il y en a, plus le Mal rayonne, plus le Terrien est accablé, plus la biodiversité issue de sa domination en pâtit.
Prêtres, moines, religieuses et autres, sont les servants des forces du Bien. Les fidèles, en besoin spirituel, s'abreuvent aux sources de leur dévotion. Entrepreneurs, industriels, grands patrons, chefs d'entreprise, actionnaires et autres sont les servants de la maladie. Les gens, en besoin matériel, s'abreuvent du fiel de leurs profits.
Pauvreté, fraternité, chasteté, obéissance sont les idéaux des forces du Bien. Richesse, désunion, obscénité, transgression sont ceux des forces du Mal.
Le protocole de guérison, initié par la nature de métamatière, consiste à détruire les structures du Mal et réduire à néant l'idéal maléfique, de la même manière que les forces du Mal ont détruit les structures du Bien, maltraité ses servants et réduit à peu de chose l'idéal bienfaisant. Il s'ensuivera une désorganisation, suivies d'une terrible famine et des épidémies qui plongeront le Terrien dans une grande détresse. Il sera au comble de la souffrance. En aplasie.
Diminués mais guéris, les survivants repartiront en marche avant dans un nouveau chemin, durable et serein, soutenus par de nouvelles forces du Bien, avec de nouvelles structures et de nouveaux servants emplis d'une nouvelle croyance : l'univers de métamatière, sa symbiose avec l'univers de matière et sa relation avec les humains. Les portes des deux univers s'ouvriront alors devant lui. La croyance en Dieu aura fait son temps.
Mais cette belle mécanique s'enraille périodiquement. Sapée par les coups incessants des forces du Mal, l'immunité bienfaitrice s'amenuise et un jour, la maladie s'installe. Elle ronge la fratrie humaine de l'intérieur et la rend fébrile jusqu'à devenir moribonde. Pour d'éviter quelle disparaisse et devoir recommencer le long processus de naissance d'une autre fratrie humaine qui peut durer des millions d'années, la nature de métamatière soigne la malade afin quelle reparte en marche avant, très affaiblie mais guérie. Ce douloureux processus de guérison est connu depuis la nuit des temps sous les noms de Déluge, Fin du Monde ou Apocalypse.
L'Apocalypse selon Claude De Bortoli.
Plus rien ne sert de prévenir, il faut guérir maintenant. Les messages diffusés par les apparitions mariales n'ont rien apporté de positif. La maladie s'est tout de même installée. La nature de métamatière informe de la mise en place d'un nouveau protocole de guérison.
Une force se matérialise dans un environnement à domination humaine par des structures imposantes qui la font rayonner, des personnes qui la servent en montrant l'exemple et un idéal de conduite.
Pour les forces du Bien, les structures qui les font rayonner sont les monastères, les cloîtres, les abbayes, les couvents, les églises, la cathédrales ou autres. Plus il y en a, plus le Bien rayonne, plus le Terrien évolue sereinement. Pour les forces du Mal, ces structures qui rayonnent sont les entreprises, les sociétés, les établissements, les firmes et autres. Plus il y en a, plus le Mal rayonne, plus le Terrien est accablé, plus la biodiversité issue de sa domination en pâtit.
Prêtres, moines, religieuses et autres, sont les servants des forces du Bien. Les fidèles, en besoin spirituel, s'abreuvent aux sources de leur dévotion. Entrepreneurs, industriels, grands patrons, chefs d'entreprise, actionnaires et autres sont les servants de la maladie. Les gens, en besoin matériel, s'abreuvent du fiel de leurs profits.
Pauvreté, fraternité, chasteté, obéissance sont les idéaux des forces du Bien. Richesse, désunion, obscénité, transgression sont ceux des forces du Mal.
Le protocole de guérison, initié par la nature de métamatière, consiste à détruire les structures du Mal et réduire à néant l'idéal maléfique, de la même manière que les forces du Mal ont détruit les structures du Bien, maltraité ses servants et réduit à peu de chose l'idéal bienfaisant. Il s'ensuivera une désorganisation, suivies d'une terrible famine et des épidémies qui plongeront le Terrien dans une grande détresse. Il sera au comble de la souffrance. En aplasie.
Diminués mais guéris, les survivants repartiront en marche avant dans un nouveau chemin, durable et serein, soutenus par de nouvelles forces du Bien, avec de nouvelles structures et de nouveaux servants emplis d'une nouvelle croyance : l'univers de métamatière, sa symbiose avec l'univers de matière et sa relation avec les humains. Les portes des deux univers s'ouvriront alors devant lui. La croyance en Dieu aura fait son temps.